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bonsoir a toi
c'est l'heure pour moi de passer
dans ton bel univers déposer un petit
comment aire d'amiti
Par Chrys, le 10.05.2011
il est l'heure pour moi
de venir chez toi
pour te souhaiter
une belle et douce nuit toute dorée
et une b
Par boumbavlg91, le 08.05.2011
bjr corinne albaut très belle poesie
Par nancy, le 08.05.2011
bonsoir mary je te souhaite une bonne soirée bon dimanche ainsi
qu'un e bonne semaine avec plein de gros bi
Par leyla, le 07.05.2011
ami de la toile
je reprend la grand voile
et viens avec toute mon amitié
te souhaiter une bonne soirée
et
Par boumbavlg91, le 06.05.2011
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Date de création : 25.01.2010
Dernière mise à jour :
15.01.2013
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LA NUIT D'OCTOBRE - Alfred de MUSSET
LE POÈTE
Le mal dont j’ai souffert s’est enfui comme un rêve.
Je n’en puis comparer le lointain souvenir
Qu’à ces brouillards légers que l’aurore soulève,
Et qu’avec la rosée on voit s’évanouir.
LA MUSE
Qu’aviez-vous donc, ô mon poète !
Et quelle est la peine secrète
Qui de moi vous a séparé ?
Hélas ! je m’en ressens encore.
Quel est donc ce mal que j’ignore
Et dont j’ai si longtemps pleuré ?
LE POÈTE
C’était un mal vulgaire et bien connu des hommes ;
Mais, lorsque nous avons quelque ennui dans le coeur,
Nous nous imaginons, pauvres fous que nous sommes,
Que personne avant nous n’a senti la douleur.
LA MUSE
Il n’est de vulgaire chagrin
Que celui d’une âme vulgaire.
Ami, que ce triste mystère
S’échappe aujourd’hui de ton sein.
Crois-moi, parle avec confiance ;
Le sévère dieu du silence
Est un des frères de la Mort ;
En se plaignant on se console,
Et quelquefois une parole
Nous a délivrés d’un remord.
ALFRED DE MUSSET (Poésies nouvelles)